Plus de 50 alebrijes de 4.20 mètres d’hauteur et de trois de large se sont promenés parmi les rues du Centre Historique pour faire la joie de touristes nationaux et étrangers, dans une nuit qui a conjugué la magie, l'imagination et les rêves.
La Nuit des Alebrijes a été vue par des milliers de personnes qui, étonnées, voyaient le passage du Dragón de l'Espoir, de Citrus le Mechant, Xólotl, Orubi Wachi et le Dragón de l'Enchantement, qui était escorté par "les moines du monde".
Entre les applaudissements de ceux qui les accompagnaient et le rythme de la musique de bande sinaloense, les alebrijes donnaient une "vueltecita" (petit tour) pour pouvoir "être photographiés" depuis tous ses angles.
Même l’Ange de l'Indépendance a montré une nouvelle image : moitié femme, moitié alebrije, parce que l'imagination de chaque artiste n'a pas de limites et dans une figure peuvent être trouvées des parties de beaucoup d'êtres en même temps.
Un alebrije est une figure fantastique et mythique, par exemple : un coq avec des jambes chien, tête de vache et des ailes de chauve-souris, des monstres et des fees, faits avec du carton, papier, bristol, pâte et peinture. Il y avait d'autres alebrijes comme le Gallobrije, confectionné avec concret, tige et carreau, dont l'élaboration a tardé deux mois et qui pèse presque 300 kilos.
Le défilé a commencé a 18:00 heures. Son départ a eu lieu aux installations du Musée d'Art Populaire (MAP), dans la rue de Revillagigedo et, peu à peu, il a avancé par les avenues Juárez et Madero, jusqu’au Zocalo du D.F.
La nuit des Alebrijes à pour objet contribuer à revaloriser et montrer le travail des artisans et artistes mexicains consacrés à la fabrication de cettes figures
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